L'auteur estime que les masses sont déraisonnables, car elles rejettent les idées ou les acceptent comme une seule, sans engager de discussion. Ce que les dirigeants lui disent conquiert rapidement son esprit, alors elle a tendance à le transformer en action et en action. Elle ne connaît que la violence aiguë avec un sentiment, car sa sympathie devient bientôt un culte, et elle s'éloigne à peine de quelque chose jusqu'à ce qu'elle se hâte de le détester.

Dans le cas de la masse, l'énergie diminue dans la pensée et les hétéroïdes se dissolvent dans le congénère, tandis que les caractéristiques inconscientes sont dépassées.

Même si les masses sont laïques, elles ont encore des réactions religieuses, qui les conduisent à adorer le chef, à craindre sa force et à se soumettre aveuglément à sa volonté, de sorte que ses paroles deviennent un dogme qui n'est pas discuté, et le désir de généraliser ce dogme apparaît. Ceux qui ne partagent pas l'admiration des masses pour les paroles du leader deviennent des ennemis.

Pas de fans sans leader, ni de leader sans fans